Il est impossible de définir un régime alimentaire « type » qui pourrait s’appliquer à tous les individus, du fait des spécificités individuelles : âge, état de santé, niveau d’activité physique…
Néanmoins, certaines grandes lignes sont applicables à tous, petits ou grands : il s’agit de manger à la fois varié, de saison autant que possible, de toutes les familles d’aliments en quantité adaptée.
Pour parler de l’équilibre alimentaire, les professionnels de la diététique parlent soit de familles d’aliments (produits céréaliers, fruits & légumes, viande, poisson & œufs…), soit de nutriments : protéines, glucides, fibres, lipides, eau, vitamines et minéraux.
On peut distinguer la diversité alimentaire, qui est le fait de consommer des groupes d’aliments différents, de la variété qui consiste à manger des aliments différents au sein d’un même groupe : par exemple, il est possible d’avoir une alimentation bien diversifiée, qui emprunte à tous les groupes, mais peu variée si la personne consomme toujours les mêmes légumes, les mêmes féculents, les mêmes sources de protéines.
A l’échelle des aliments, la standardisation des produits nous a d’ailleurs fait perdre la notion de variété : par exemple, il existe plus de 4 000 variétés de tomates recensées à l’échelle européenne alors que nous en consommons tout au plus deux ou trois formes différentes au cours de l’année.
Les dernières recommandations officielles françaises présentées dans le programme « Manger Bouger » du PNNS1 ne présentent plus les familles d’aliments sous la forme d’une pyramide mais listent des éléments à « augmenter », à « réduire » ou vers lesquels il faut « aller » pour atteindre une alimentation « plus équilibrée » :
• Augmenter : les fruits & légumes, les légumes secs, les fruits à coque, le fait-maison et l'activité physique ;
• Aller vers : les produits céréaliers complets, les poissons gras et maigres, les huiles végétales (colza, noix, olive), des produits laitiers en quantité « suffisante mais limitée », les aliments de saison & produits localement, les aliments bio ;
• Réduire : l’alcool, les produits & boissons sucrés, les produits salés, la charcuterie, la viande (hors viande blanche), les produits Nutri-Score D et E et le temps passé assis.
Manger « équilibré », c’est aussi maintenir la balance énergétique, c’est-à-dire l’équilibre entre l’énergie dépensée (métabolisme de base, activité physique) et l’énergie apportée (alimentation).
En effet, pour schématiser, si la balance énergétique est déséquilibrée, le poids de l’individu va varier car il va devoir soit stocker de l’énergie (s’il en apporte plus qu’il n’en dépense) soit puiser dans ses réserves, de graisses notamment. Pour maintenir son poids de forme, il faut donc apporter de l’énergie (décomptée sous forme de calories) correspondant à ses dépenses énergétiques.
L’équilibre alimentaire passe aussi par la régularité des repas (3 à 4 par jour) et l’absence de grignotage qui empêche d’identifier correctement sa faim. Il faut se rappeler que l’équilibre alimentaire ne se construit pas sur un repas mais bien sur la journée voire sur plusieurs jours : en prévision ou après un ou des repas plutôt riches (fête, évènement familial…), il sera donc bénéfique d’adopter une alimentation plus « légère », à base de fibres riches en vitamines et oligo-éléments.
La gamme de produits Kriss‑Laure répond parfaitement à ces conseils nutrition. Elle permet d’atteindre vos objectifs de perte et maintien de poids et est utile pour garder un équilibre alimentaire tout au long de l’année.
1 Programme National Nutrition Santé, à consulter sur mangerbouger.fr